L'homme traîne ses peines,
Conduit son ciel au désespoir
Et la misère, elle, ne vient pas
Fragiles éventails nous sommes
Exposés aux vents glacés qui résonnent
Brisés, nos cœurs pèsent une tonne
Se glissera un peu d'amour
D'immenses flammes s'élèveront
Miroir de nos âmes gardiennes du son
Nos dernières larmes couleront
Heureux à jamais, heureux
Libérer de la vie sans sens
D'immenses flammes s'élèveront
Miroir de nos âmes gardiennes du son
Nos dernières larmes couleront
Heureux à jamais, heureux