Mais j’me suis perdu sur la Terre
À la recherche d’un idéal.
À chaque fois j’ai la flemme
Et Je repousse tous mes tords jusqu’au lendemain, Jusqu’au lendemain.
Comme si j’revenais en arrière après avoir atteint les portes de l’enfer, Mais nan faut pas t’en faire, yah.
J’veux arrêter le temps pour créer mon espace,
Mais comme L.A, j’me sens bloqué dans une faille.
Esprit égocentré, étriqué par la masse.
Et si j’ai perdu c’est par peur de voir la fin, mais c’est mort.
C’est quoi l’problème dans cette atmosphère ?
Dans ce monde de fou heureusement c’est toi ma reine. Trop de travail pour tout claquer dans la Goyard.
Tout ça pour te dire qu’au final c’était pas la peine.
Mais j’me suis perdu sur la Terre Dans ses méandres,
À la recherche d’un idéal.
À chaque fois j’ai la flemme
Et Je repousse tous mes tords jusqu’au lendemain, Jusqu’au lendemain.
Faut du travail avant l’Eden.
Fournir des efforts et des larmes ensanglantées. Malgré tes défauts,
Pas de faille dans le système.
Rien est rose, pas de secret.
Si les gens t’offrent, c’est pour qu’tu rendes.
S/o tous ces falschs qui viennent pour les flashs. Vision acérée donc me parle pas,
Rétine orientée vers le ciel et :
Mais j’me suis perdu sur la Terre
À la recherche d’un idéal.
À chaque fois j’ai la flemme
Et Je repousse tous mes tords jusqu’au lendemain, Jusqu’au lendemain.
Faut qu’je sois meilleur,
Mais ça je verrais bien demain.
Mais ça je verrais bien demain