Cette nuit c'est sûr ce sera le bal des larmes
Les larmes s'emparent de ceux qui entament
Agrippe et défie les flammes
Donne l'image qu'elles se ternissent
La peur s'oublie avec la tease
Dégringolant sur le trottoir
Contre les parois des bâtiments maintenant tachetées
On crie au feu de forêt de béton
Communication coupée tout s'effondre
La fumée noire crée l'illusion
La parade des flammes éteintes par une seule larme
Les cris s'égarent dans la résonance des géants de fer
Les gérants s'enterrent emprisonnent leur réalité idyllique
Ils glissent hors de leur lit d'argile
Ils glissent hors de leur lit d'argile
Sans plus attendre leur colère gronde et hurle
Sans chercher à comprendre tout ce qu'ils croisent ils le brûlent
Ce soir le vent les grise et attise les flammes
Cette nuit c'est sûr ce sera le bal des larmes
C'est une balle dans le crâne
Des fragments de conscience du mal
La nuit émancipe la ville
Il parcourt les rêves rapidement
Ravive la haine de son hôte
S'agrandissant il ôte toute envie
La fumée embaume la ville
Sans plus attendre leur colère gronde et hurle
Sans chercher à comprendre tout ce qu'ils croisent ils le brûlent
Ce soir le vent les grise et attise les Flammes
Cette nuit c'est sûr ce sera le bal des larmes
(Eh) Et dépose un voile sur ceux qu'elle habite
Elle abîme la vision (Eh)
L'essence s'écoule du bidon et inonde le monde
Une étincelle se crée et brûle les trêves.
Sans plus attendre leur colère gronde et hurle
Sans chercher à comprendre tout ce qu'ils croisent ils le brûlent
Ce soir le vent les grise et attise les Flammes
Cette nuit c'est sûr ce sera le bal des larmes
Sans plus attendre leur colère gronde et hurle
Sans chercher à comprendre tout ce qu'ils croisent ils le brûlent
Ce soir le vent les grise et attise les Flammes
Cette nuit c'est sûr ce sera le bal des larmes
Depuis trop longtemps ils sont réduits au silence
Depuis bien longtemps ils ne croient plus à la chance
Cette amertume qui les ronge à l'intérieur
Comme une gangrène du pus qui sent la peur
Quand la nuit découvre la ville endormie
Ils glissent hors de leur trou de leur léthargie
Leur vie misérable, ils ne veulent plus en rougir
Ils sont invincibles, ils ne peuvent plus mourir
Ils n'ont plus d'histoire, nulle part où aller
Quand il n'y a plus d'espoir alors aussi bien crever
Pourquoi pas tout foutre en l'air
Pourquoi pas tout balayer
Et voir, voir, voir tout exploser